Compte rendu de la rencontre DGSCGC du 28 novembre 2023

Participaient pour l’administration : messieurs MARION (DG), JUGGERY, WILM, CAIRO,
et madame MERIGNANT
Pour les personnels : les organisations syndicales dont P. GURRUCHAGA et S.
DELAVOUX pour la CGT
Après une rapide introduction par le DG, quelques chiffres concernant les jeux
olympiques nous ont été donnés. Les volumes attendus sur la “plaque parisienne”
sont de 1200 agents de plus par jour, avec une attention particulière sur 4 dates.
Cela n’a pas été précisé, mais nous nous demandons d’où viendront les 1200
agents, vu les difficultés quotidiennes des SIS pour maintenir une couverture
opérationnelle pas trop inégale. Ils ne seront pas simples à absorber.
Il s’en est suivi un échange sur les “négociations” ouvertes par le courrier du 22
novembre du ministre de l’intérieur (annexe). Des demandes ont été faites par des
organisations syndicales à un DG un peu surpris par la teneur de la discussion.
Nous avons compris que l’argent mis à disposition des CASDIS (convention Etat/SIS) sera
ventilé selon des modalités définies localement, mais nous ne savons pas si les sommes
versées par le ministère étaient arrêtées.
Les ambitions décrites en termes de matériel NRBC peuvent donner le tournis, mais la DG
affirme “l’Etat assume ses responsabilités”.
La CGT a soutenu les demandes faites par les autres organisations syndicales et
ajouté la demande d’abandon du recul de l’âge de la retraite.
La CGT a aussi souligné :
– Le besoin de réaffirmer que l’Indemnité de Mobilisation Opérationnelle n’est pas une
autorisation à s’affranchir des 1128 heures/semestre ;
– L’enjeu des saisonniers : nombre de SIS interdisent à leurs propres SPV de quitter le
département, nombre de CDD seront déjà utilisés pour compenser l’absence de lauréats
du concours disponibles (rappelons que les CDD chez les pompiers ne viennent pas en plus des autres
agents, ils sont déjà SPV quelque part), et il y a la surveillance des plages (0 CRS car retrait de la
Police Nationale !!).
Enfin, la rencontre que nous attendions (nous l’avions demandé) avec la doctorante
Charlyne PONCATO (étudiante en doctorat d’ergonomie, dont la thèse porte sur « les
effets sur la santé à moyen et long termes de l’activité de sapeur-pompier ») n’a pas pu
avoir lieu, pour des problèmes de connexion.

Ce point, très important, qui concerne la santé des agents, est reporté. Nous serons
vigilants à ce qu’un temps nécessaire lui soit consacré car le sujet est vaste

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