Les Sapeurs Pompiers participent à des missions à risques qu’ils exercent dans des conditions souvent difficiles et qui s’accentuent en fin de carrière.
Les secrétaires des syndicats CGT des agents des SDIS de France, représentant leurs collègues, se sont réunis le jeudi 10 avril 2008 à Montreuil et demandent dans l’urgence, aux pouvoirs publics :
Deux événements tragiques viennent d’endeuiller récemment notre profession (explosion à Lyon, plongeur à St Brieuc), et nous rappellent une fois encore que les sapeurs-pompiers exercent un métier qui les expose à des situations extrêmes pour secourir la population et ses biens, au péril de leur vie.
Lire la suiteDeux événements tragiques viennent d’endeuiller récemment encore notre profession, l’explosion de Lyon et la disparition de notre collègue décédé en plongée dans les côtes d’Armor. De nombreux sapeurs-pompiers ignorent ce dernier drame.
Nous regrettons qu’aucune consigne de la DDSC n’ait été donnée afin que l’ensemble des personnels du territoire national observe une minute de silence en l’hommage de nos deux collègues décédés en service commandé.
Le 28 février 2008, une explosion à Lyon a coûté la vie à un sapeur-pompier professionnel, venant une fois de plus, nous rappeler que les sapeurs-pompiers exercent un métier dangereux, les exposant à des situations extrêmes pour secourir la population au péril de leur vie.
Ces décès brutaux touchent des familles et un problème majeur se pose aujourd’hui pour la pension de réversion à la compagne de notre collègue Stéphane Abbes, décédé dans cette explosion.
Le Ministre nous a reçus pendant près d’1 heure 30 en présence de Mr QUEFFELEC, conseiller pour la Sécurité Civile auprès du ministre. Claude MICHEL, Christian CAUJOL, Serge GUIGNARD et Bruno LEBEL composaient la délégation CGT.
Le ministre a souhaité nous recevoir en bilatérale et sans la DDSC afin de faire le point sur les dossiers d’actualité.
1. fin de carrière :
2. filière :
3. temps de travail :
4. secours à personnes :
5. violences urbaines :
C’est avec un total étonnement que j’ai pris connaissance de la circulaire interministérielle du 20 décembre 2007 relative aux modalités de mise en œuvre de la réduction de cotisations salariales de sécurité sociale au titre des heures supplémentaires.
In fine, cette circulaire fait peser sur la CNRACL l’entière charge de ces exonérations en totale contradiction avec toutes les dispositions légales et réglementaires dans lesquelles s’inscrit le régime, notamment l’article 3 du décret 2007-173 du 7 février 2007 et l’article 4 du décret n° 2003-1306 du 26 décembre 2003.
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